Clic – clac

Le Clic Clac  chez Tortue ( clic)  , c’est une photo publiée le vendredi pourvu qu’elle soit rigolote, insolite, amusante, poétique, anodine.

Je vous propose un lever de soleil qui fait voir la vie en rose . Je n’ai absolument pas modifié la photo , tout baignait dans le rose après le lever du soleil, le 21 janvier à 8h 43.

L’art du camouflage

Hier, alors qu’ arrêtées à Jouy aux arches, dans un parc, nos mollets prenaient une pause avant de retrouver les pédales de nos destriers, nous avons entendu quelques coassements. Ils provenaient d’une belle mare recouverte de lentilles d’eau. Si tout d’abord nous avons bien identifié les grenouilles par leur saut à notre approche, après, ce fut une toute autre histoire pour les repérer .

La voyez vous celle qui nous nargue ?

Plutôt difficile non ? Dans un premier temps j’ai essayé de zoomer avec l’appareil pour mieux la voir, j’ai bien failli la manquer sur la photo .

Puis j’ai repris une photo avec un plan plus large en recadrant après , là elle est nettement plus visible . Le mimétisme de la rainette avec son environnement est vraiment saisissant , d’autant plus qu’elle ne bouge pas d’un millimètre même quand vous approchez .

Bon dimanche à vous toutes et tous

L comme …

Eh bien cette année, la limace a détrôné Lucette, elle n’a laissé aucun cèpe aux cueilleurs qui sont revenus bredouilles. Pourtant les conditions semblaient favorables et identiques à celle d’aout 2017 où la récolte s’était avérée fructueuse comme le montre le panier de Lucette .

L    e    voilà   enfin   le  roi  de  la   cueillette

U   n     joli    cèpe  près  duquel  elle  s’arrête

C   ertes, il  en  faut bien d’autres à Lucette  

E   ncore   trop  peu pour garnir son omelette. 

T   oujours   parmi    les  feuilles  elle  furète  

T   entant  de  débusquer les pousses discrètes

E  lles ne peuvent que finir dans son assiette.  

Lundi soleil

# lundi soleil chez Bernieshoot un clic sur le logo.

Le violet est la couleur du mois d’août .

Je vous propose cette fois – ci une version végétale avec cet iris de couleur parme. J’ai bien vérifié cette couleur est une nuance de violet évoquant la violette de parme.

Des articles sur la mode de 1829 mentionnent des tissus couleur violette de Parme. La violette dite de Parme se cultive en 1755 dans la région de Grasse où elle est surtout utilisée en parfumerie. Le nom de cette variété, attesté en 1816, est sans doute une allusion à l’impératrice Marie-Louise, devenue duchesse de Parme en 1814, qui en a planté. La fleur est à la mode comme parure des cheveux vers 1826, en 1829 la couleur violette de Parme décrit le velours d’une robe. En 1834 un journal spécialisé affirme « la couleur violette de Parme est la préférée en ce moment ». Cette mode dure un temps, puis d’autres couleurs triomphent.

Au milieu du siècle, on dit « couleur Parme » puis « Parme » tout court, quand le contexte le permet. La teinture est alors extraite d’un lichen. « C’est à l’aide de l’orseille que l’on produit cette magnifique couleur parme, qui n’est autre que la couleur même de l’orseille modifiée par l’action de la chaux. ». Entre 1850 et 1865, les couleurs pourpre, mauve et violet étant à la mode, les teinturiers mettaient beaucoup d’efforts à en fabriquer. L’orseille fut rapidement remplacée par des colorants synthétiques donnant des nuances plus vives et des teintures plus solides.

Si vous voulez …

S  i vous  voulez voir la  rouge lysimaque

A  u bord de l’onde , ses longs épis rose

L  aisser  des  taches de sang en flaque

I  rradier le vert en fleurs d’apothéose,

C  heminez sans souci près de la rivière ,

A   partir  de  juin et pendant tout l’été ,

I  l est sur qu’elle sera au rendez – vous.

R  ougette, herbe aux coliques, salicaire 

E  lle peut soigner,nourrir, un autre atout.

Défi 284 des Croqueurs de mots

Jill ( clic) à la barre du bateau des Croqueurs de mots pour la quinzaine nous dit :

Pour le lundi 12-6, « Impossible pas végétal » d’après cette photo imposée.

Quand on veut on peut

*

Entre le souterrain et l’aérien

s’inscrit ma vie malgré le bitume.

Qui pouvait croire qu’un presque rien

percerait là ce mur d’amertume ?

*

Un jour pourtant j’ai saisi ma chance

Pour faire éclater cette enclume

Avec entrain et persévérance,

Pas question de devenir posthume.

*

J’ai gravé dent de lion à la plume

Dans ce macadam de mon enfance

Bénissant l’aigrette qui se balance

Au gré des vents dans son beau costume .

*

Si en toi l’espoir de vie s’allume

Ne reste pas figé dans l’errance

Mets tout ton être dans la balance

Et comme le pissenlit assume .

Clic – clac

Le Clic Clac  chez Tortue ( clic)  , c’est une photo publiée le vendredi pourvu qu’elle soit rigolote, insolite, amusante, poétique, anodine.

Je vous propose un gendarme tres attaché à sa jacinthe des bois . Cette année est particulièrement propice à cette fleur , plusieurs tapis sont apparus dans le petit bois en face de chez moi, pour le plus grand plaisir des promeneurs .

Clic – clac

Le Clic Clac  chez Tortue ( clic)  , c’est une photo publiée le vendredi pourvu qu’elle soit rigolote, insolite, amusante, poétique, anodine.

Je vous propose une habituée des pelouses calcaires en ce mois d’avril, l’anémone pulsatile . Pour une fois il ne s’agit pas du St Quentin mais des pelouses situées sur le haut de Saulny .

Version plein soleil

Version ombragée

L’anémone pulsatille bénéficie d’une réglementation, elle est protégée en Lorraine. Pas question donc d’en faire des bouquets d’autant plus qu’elle est toxique , caustique et irritante. Mais il faut reconnaitre qu’elle forme de bien jolis tapis floraux colorés dès le printemps .

Invités surprises

Pour le clic – clac du vendredi, je vous ai montré les ouettes et leur progéniture, mais ce ne sont pas les seuls animaux que nous avons rencontrés ce jour là à Woippy sur l’étang. Bien sur, il y a toute une faune aviaire qui niche sur deux petites iles de ce plan d’eau et que nous apercevons sans peine.

Les bernaches en couple, comme il se doit en cette période, n’ont pas un caractère facile et se livrent tres souvent à des charges d’intimidation envers d’autres congénères mais elles peuvent aussi se comporter tout à fait normalement avec d’autres espèces comme vous le constatez sur cette photo avec une nette rousse et une cane colvert .

Il arrive même à tous ces oiseaux de se retrouver pour faire une ronde , si si , regardez sur la photo ci dessous. Visiblement le cygne et le fuligule morillon ne veulent pas rentrer dans la danse et font bande à part .

Un petit peu de zoom ( ce n’est que le petit appareil donc moins performant que celui que j’ai sur le reflex ) pour vous montrer de plus près la nette rousse et le fuligule morillon avec sa livrée noire et blanche, je les trouve vraiment superbes.

Ah mais, qui s’invitent près des bambous là bas ? Je me demande pendant un moment s’il s’agit de castors, car je ne vois pas la queue et je sais qu’ils sont présents maintenant dans le secteur . Mais en observant bien je remarque les incisives jaune – orange caractéristiques du ragondin et la queue cylindrique . Ils ont l’air d’apprécier particulièrement les bambous, ils restent un certain temps à grignoter et repartent rassasiés pour s’amuser dans l’eau. Un clic sur les photos pour les voir en plus grand .