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Lundi soleil

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Pour ce mois de juin Bernier nous propose un duo de vert et de rose .

J’ai choisi cette fleur de marronnier d’ornement avec son feuillage vert .

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Dédicaces de saison

Pour l’atelier 214 de Ghislaine un clic sur le logo .

Sujet 1 

Saison, malgré, autre, combler, pâlir, colorer.

Sujet 3 

un texte avec au moins 5 mots commençant par « D »

Le livre à Metz s’étant installé pour le week – end à Metz, nous décidons, ma moitié et moi, de profiter de ce beau temps de saison pour y aller à pied . Malgré un vent, somme toute, assez dérangeant, surtout sur les ponts , le trajet s’avère des plus agréable.

Le vert détaille sa riche palette sur les berges du bassin de la Pucelle à faire pâlir d’envie l’écume blanche de ses remous. Délicatement, il comble dans l’environnement les manques que l’hiver a installés. À défaut de colorer uniformément le paysage, il s’applique à ponctuer ses touches discrètement suivant les essences d’arbre, un vert amande ici, un autre impérial là ; comment ne pas être en admiration devant toutes ces différences de nuances, des dédicaces printanières du plus bel effet.

Nous nous dirigeons vers l’ile du Saulcy où a lieu un colloque consacré à Aragon poète flamboyant, journaliste virtuose.

Sur notre chemin aussi se trouve un autre poète, nous passons en effet devant le buste de Paul Verlaine. Comme vous pouvez le remarquer sur la photo , son cou est ceint d’une cravate . Des plaisantins me direz vous ? Que nenni , je vous explique . C’est en 1925 que cette statue en bronze de James Vibert est installée sur le boulevard Poincaré au pied de l’esplanade. Alphonse Daudet disait de lui que ses cravates étaient aussi belles que ses sonnets. Paul Verlaine aimait donc être cravaté. Chaque 30 mars, l’association des amis de Verlaine  offre à son buste une jolie cravate , des lectures de ses poèmes ont lieu, histoire de fêter dignement son anniversaire. Cette année elle est même assortie au parterre de tulipes .

Comme d’habitude le chapiteau consacré aux différents auteurs est très fréquenté, je reviendrai certainement car à cette heure, les échanges s’avèrent compliqués .

Lundi soleil

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Le vert étant au rendez vous de ce mois d’avril je vous présente une fleur arborant cette couleur : l’euphorbe

Tout d’abord dans sa version jardin : Ne me demandez pas son nom il y en a tellement de variétés que je serais bien incapable de répondre .

puis dans sa version sauvage , même constat pour l’identification .

Lundi soleil

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Pour ce mois d’avril le vert est à l’honneur , je vous propose une photo prise à l’exposition « les portes du possible »

Wangechi Mutu, « The End of Eating Everything »

Pour découvrir l’intégralité de cette œuvre voici une interview de l’artiste , l’animation commence à 4mn .

Quelquefois je m’amuse….

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Sujet 1 

Quelquefois, parfois, beaucoup, souvent, jamais, très, trop, plus.

Sujet 2

Répit, pause, constater, saluer, fatigue, énergie, soulagement, bas

Sujet 3 

un texte avec au moins 5 mots commençant par  » j « 

Quelquefois je m’amuse à comparer les photos de nature prises à un an d’intervalle. Ce mois de novembre, je ne sais pas trop quoi en penser, j’ai l’impression que le vert s’est mis en mode plus ,plus, par rapport à l’année dernière. Jamais je n’ai vu autant d’arbres arborer cette couleur aussi longtemps. L’ensoleillement continu de ces derniers mois aurait – il boosté la photosynthèse au point que les chloroplastes ne se mettent pas sur pause, un répit pourtant bien mérité après cette capture continue de l’énergie lumineuse?

Beaucoup d’arbres l’an passé tutoyaient l’ambre à cette époque. Je ne parle pas des marronniers qui souvent sont les premiers à se débarrasser de leur feuillage, car sujets au chancre bactérien provoquant la dessication et la brulure des feuilles . On ne peut que constater par la suite leur très nette fragilisation face aux agressions et aux autres ravageurs. Parfois, il faut même se résoudre à les abattre tellement ils sont affaiblis. Nous n’en sommes pas là heureusement pour les autres essences, et c’est un soulagement de voir leur incroyable résistance à la canicule. Même s’ils ont connu plus de bas que de hauts, ils s’en sortent vraiment bien.

La végétation au sol aussi a repris de la vigueur , oubliée la fatigue automnale , elle nous salue avec une floraison exceptionnelle . Comme vous n’êtes pas sensés me croire sur parole, j’ai juste pris un cliché ce matin, en face de chez moi, d’un lamier blanc retrouvant sa jeunesse printanière. Non, je ne me suis pas piqué les jambes, bien que ressemblant vraiment à l’ortie, cette plante ne joue pas avec l’urticant, ce qui n’est pas le cas de ses voisines que Sybelle évite à chaque fois de justesse . Novembre aurait il juré de concurrencer juin ?

Le petit jeu de Cricket

Pour le petit jeu de Cricket un clic sur le logo.

1 vers, verre, ver, vert, vair

2 plage

3 acrostiche plage

Il n’est point besoin de changer de verres de lunettes, même à l’œil nu dans le jardin le vert des feuilles de framboisier a une fâcheuse tendance à virer au jaune en ce moment. Point de ver dans les fruits, mais de nombreuses fourmis jouant les squatteuses. Il parait que c’est un signe de sècheresse. Allons – nous vers une autre année sans précipitation estivale ? Je ne sais, en tout cas l’écureuil qui fréquente le noisetier s’en moque. Il n’arbore pas de vair, sa fourrure est d’un roux flamboyant et visiblement il réussit à éviter les chats lors de ses petites virées.

2

La plage, il faut savoir en profiter autrement qu’en version crêpe à retourner pour parfaire le bronzage de l’été. En principe je ne reste pas longtemps sur le sable ou les galets, je me précipite dans l’eau soit pour nager , plonger , soit pour marcher dans les vagues. Une fois revenu sur l’estran , une partie de badminton, de pétanque ou de jeu de ballons n’est pas non plus pour me déplaire. Il est loin maintenant le temps où je parcourais ces grandes étendues de sable fin à bord d’un char à voile ou à cheval mais je n’oublierai jamais cette sensation de liberté que ces sorties me procuraient.

3

P arcourir encore et encore l’estran

L aisser le soleil doucement se tremper

A l’horizon sans se soucier des courants

G risée par le souffle du jour estompé

E lle ne peut que vivre à fond l’instant .

Lundi soleil

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Rendez – vous avait été pris par Domi pour la retrouver Durgalola et moi à Metz . Partis de la cathédrale nous avons suivi l’eau jusqu’au canal apres une ppetite pause au plan d’eau . Une jeune fille tres sympathique a immortalisé l’instant, juste avant que nous plongions dans le vert environnant . Une tres belle après – midi riche en partage .