Clic – clac

Le Clic Clac  chez Tortue ( clic)  , c’est une photo publiée le vendredi pourvu qu’elle soit rigolote, insolite, amusante, poétique, anodine.

Je vous propose un de nos ciels flamboyants d’hiver.

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Lundi soleil

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Pour ce mois de décembre Bernie nous propose le thème de l’hiver, et il ne s’est pas trompé du tout il est bien là .

. Je vous propose deux vues de Metz prises du city skyliner avec un peu plus de soleil et de froid que lors du premier test. Le saupoudrage neigeux tient depuis une semaine . Il faut dire qu’avec moins dix le matin et moins cinq dans l’après – midi elle ne risque pas de fondre cette neige.

Lundi soleil

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Pour ce mois de décembre Bernie nous propose le thème de l’hiver.

Je vous propose cette fois ci de rentrer dans la cathédrale de Metz pour découvrir la crèche

à Woippy la crèche est à l’extérieur devant la mairie , le nouveau né est un peu en avance car il est déjà dans les bras de Marie .

Lundi soleil

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Pour ce mois de décembre Bernie nous propose le thème de l’hiver .

Je vous invite donc à retrouver des paysages enneigés de l’année dernière à quelques pas de mon domicile. Pour l’instant nous n’avons pas eu encore de neige mais cela ne saurait tarder , le froid et l’humidité semblent bien s’entendre .

Le tableau du samedi

Pour le  tableau du samedi, initié par Lady Marianne et poursuivi par Lilou et Fardoise, un clic sur le logo.

Lilou nous propose de rester dans la saison avec le thème de l’hiver , du froid , de la neige pour la quinzaine.

Je vous propose

 » Dans l’hiver profond » de Richard Freiherr von Drasche Wartinberge .

Fichier:Richard Freiherr von Drasche-Wartinberg Im tiefen Winter.jpg

Un paysage enneigé montagnard que le soleil n’illumine pas, juste quelques lueurs éclairent les herbes sèches du premier plan. Je trouve que l’ atmosphère particulièrement froide est bien rendue dans ce tableau par les couleurs employées et le choix de l’eau du ruisseau courant parmi la neige. Une brume légère prend dans ses filets les maisons que l’on aperçoit au fond. La couche de neige est épaisse au sol, par contre nettement moins importante sur les branches des arbres , le vent a du souffler pour les en débarrasser.

Richard Freiherr von Drasche Wartinberge né le 18 mars 1850 à Vienne et mort en juillet 1923 à  Inzersdorf.

Il est le fils d’un industriel de la brique et reçoit une formation dans la géologie . Il est connu pour ses études géologiques publiées et ses voyages plus que pour ses tableaux .

Richard von Drasche-Wartinberg ne se tourne vers la peinture qu’à un âge relativement avancé. Avant 1900, il reçoit des leçons privées d’Eduard Ameseder. En 1902, il expose en tant qu’invité au Hagenbund, et de 1903 à 1905, il en est membre. Il fait également partie de l’association d’artistes Künstlerhaus Wien, à partir de 1905 en tant que membre à part entière et à partir de 1914 en tant que membre honoraire, et présente régulièrement ses œuvres lors de ses expositions. Il préfère peindre des paysages des Préalpes autrichiennes (souvent des motifs hivernaux), plus rarement des portraits. Il travaille à l’aquarelle, à l’huile et à la tempera, et plus tard aussi au pastel. À l’automne 1923, une exposition commémorative est organisée en son honneur au Künstlerhaus de Vienne.

Un dimanche en poésie

Je voudrais attirer votre attention sur un très beau recueil de poésie, que je viens de recevoir. Il s’agit de celui de Solène Vosse (clic) publié chez Bookedition .

Solène y décline à merveille la symphonie des jours en perles de mots, je ne peux que vous recommander cet ouvrage qui vous emportera dans cet univers incomparable de la poésie.

On attend tous

(Complainte d’automne d’un coeur solitaire qui ne sait plus ce qu’il attend)

*

Au vent des soirs d’automne

Les rêves et les nuages tournent les pages

De la grande aiguille du temps

Et le vent chasse la pluie

Qui reviendra demain entre deux

éclaircies

Pendant que les arbres s’effeuillent

Sans que personne s’en étonne.

*

Au fil des heures monotones

La vie réelle se porterait mieux si on lui

donnait

Ne serait- ce qu’un soupçon d’irréalité

Au buffet de la gare sur le point de fermer

Ou même encore, sur le quai où le train

est en retard

On attend tous quelque part, quelque

chose ou quelqu’un .

*

Au vent des soirs d’automne

Au fil des heures monotones

Sont parties, envolées les hirondelles

Loin des yeux loin du coeur

Mais pour garder l’espoir autant ne pas

savoir

Si c’est toi qui ne viendra plus maintenant

Ou mon amour pour toi qui s’en va sans moi.

****

Son autre recueil « Le printemps reviendra, il revient toujours » aussi chez BookEdition paru en septembre 2020

J’écris mes cris

*

J’écris mes cris avec mon ventre, ma sueur

et mon sang

J’écris à cor et à cris pour apprivoiser

le manque

Quand l’absence ne dit pas son nom

J’écris la nuit sur un désert de cendres

encore brulantes

à coup de couteau ou bien de hache

J’écris tout le temps comme ça

à bout portant du côté du silence

J’écris mes cris, te les écris aussi …

Puis je m’écrie !

Et je les jette au vent ….