
Quatrième de couverture
Comme tout le monde Julie a fait beaucoup de trucs stupides. Elle pourrait raconter la fois où elle a enfilé un pull en dévalant les escaliers, celle où elle a tenté de réparer une prise électrique en tenant les fils entre ses dents, ou encore son obsession pour le nouveau voisin qu’elle n’a pourtant encore jamais vu _ obsession qui lui a valu de se coincer la main dans sa boite aux lettres en espionnant un mystérieux courrier ..
Mais tout cela n’est rien à côté , absolument rien à côté des choses insensées qu’elle va tenter pour approcher cet homme dont elle veut désormais percer le secret. Poussée par une inventivité débridée, à la fois attirée et intriguée par cet individu à côté duquel elle vit mais dont elle ignore tout. Julie va prendre des risques toujours plus délirants jusqu’à pouvoir enfin trouver la réponse à cette question : pour qui avons nous fait le truc le plus idiot de notre vie ?
Une bouffée d’oxygène ce livre , je n’ai jamais autant ri tant l’auteur se met complètement dans la peau de son héroïne, Julie. C’est d’ailleurs incroyable de voir comment il a pu intégrer toute la psychologie féminine . Julie n’est pas la seule dans ce roman à attirer les regards tous les personnages sont attachants. Un savant mélange de tendresse et d’humour pour en faire le portrait, Gilles Legardinier fait mouche à chaque fois . J’aime beaucoup la façon dont l’auteur nous fait part des vraies pensées de Julie dans les dialogues alors que ce qu’elle dit est souvent aux antipodes. Loin de certains livres à l’eau de rose , la recherche de l’Amour avec un grand A y est superbement dressé que ce soit par Julie ou par ses amies . La tendresse aussi se rencontre dans les relations tissées entre les copines, les personnes que côtoient Julie comme Mohamed , la boulangère, madame Rouland.
Bref un livre que je vous conseille vraiment , un anti sinistrose tres efficace qui vous redonne le sourire si vous l’avez perdu .
« Je ne sais pas pour vous mais, au début de ma vie, il n’y avait que deux sortes de personnes dans mon univers : celle que j’adorais et celles que je détestais. Mes meilleurs amis et mes pires ennemis. Ceux pour qui je suis prête à tout donner et ceux qui peuvent aller crever. Ensuite on grandit. Entre le noir et le blanc, on découvre le gris. On rencontre ceux qui ne sont pas vraiment des amis mais que l’on aime quand même un peu et ceux que l’on prend pour des proches et qui n’arrêtent pas de vous planter des couteaux dans le dos. »
« Il faut tout espérer, au risque d’être déçu. Il faut tout éprouver au risque d’être blessé, tout donner au risque d’être volé. Ce qui vaut la peine d’être vécu vous met forcément en danger. »
« Ce matin-la j’ai découvert une des sept vérités fondamentales qui commandent l’univers: le bonnet péruvien ne va a personne ……Je ne sais pas si c’est la forme, la matière ou la couleur mais franchement, je comprends que ça énerve les lamas et qu’ils crachent sur des innocents »
« Vous avez déjà rencontré des gens qui font une fête pour leur divorce ? Moi, oui. D’habitude, ce sont plutôt les futurs mariés qui s’amusent. On les entend klaxonner le samedi quand ils roulent en cortège vers la mairie, on les croise la veille en bandes, dans les rues, habillés en clown ou quasi nus. A grand renfort de trompettes et de tambourins, ils exhibent aux badauds ternes leur joie d’enterrer leur vie de jeunes célibataires – parfois à plus de trente-cinq-ans… Mais moins d’un an plus tard, quand les 19% des statistiques se séparent, plus personne ne lance de confettis. Eh bien, Jérôme, si.
Je n’ai pas assisté à ses deux premiers mariages, mais j’étais présente au troisième. Trois mariages et trois divorces à trente-deux-ans, ça interpelle. Le proverbe dit : » A ton deuxième naufrage, n’accuse pas la mer. » La sagesse populaire ne s’est pas aventurée jusqu’au troisième. »
Tu me donne envie de le lire. Ma liste est longue, je le rajoute.
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Moi aussi j’ai adoré ce livre, ça fait du bien mais ce n’est pas mièvre ou plein de poncifs pour autant.
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ca donne envie de le lire
bises bonne journée
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Je sens que je vais l’apprécier autant que toi! Je vais voir pour le trouver en bibliothèque.
Bon dimanche….avec du soleil, yes…!
Mireille du sablon
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Il m’a l’air digne d’intérêt sans qu’on s’y ennuie, merci Jazzy, bises
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Merci Gisèle pour tout ce que tu nous en dis
Bonne journée dominicale
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Il faut que je le cherche à la bibliothèque, ton résumé me donne envie de le lire.
Bon dimanche.
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Oh un livre que j’adore !!
Et il m’a permis de contacter et rencontrer Gilles qui est une charmante personne…
Je crois te l’avoir déjà dit.
J’avais participé en septembre 2012 à un prix littéraire du magazine Confidentielles. Membre du jury, j’avais découvert cette pépite d’or et l’avait classée première parmi 14 livres sélectionnés. Elle n’était arrivée que 3e (et l’année d’après Gilles avait reçu le premier prix avec « Complètement cramé » qui m’a d’ailleurs été offert dédicacé avant sa sortie par son auteur)
Gilles m’avait remerciée de mon appréciation très enthousiaste sur son roman…
Nous nous sommes rencontrés quelques mois plus tard…
Nous sommes restés en contact.
Je n’oublierai pas les cartes postales envoyées de ses vacances en Ecosse, ni son coup de fil après le décès de mon mari…
C’est un homme qui a une belle plume et un bon cœur.
Voilà…
Bisous Jazzy et bon dimanche.
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Voilà un livre où l’on jubile….je le note vite d’autant plus que ma pile en attente a bien diminué .
Bisous et bon dimanche….sous le soleil, Jazzy.
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Je l’ai lu et je le recommande aussi, une lecture comme je les aime.
Très bon dimanche Jazzy et gros bisous
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La recherche de l’amour avec un grand A ? Même avec un petit tas, c’est de l’illusion, c’est onirique… Je crois que rien n’existe d’amour en couple que dans notre cerveau malade… Hélas…
Très bon dimanche
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J’ai lu ce livre de Legardinier il y a un moment déjà et oui, il est très plaisant à lire donc un bon moment à passer.
Bon dimanche à vous avec le soleil, ☀️
Bises
Annie
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Ah j’aime bien l’idée que la vie vaut la peine d’être vécue, y compris dans ces côtés les plus fous, se mettre en danger c’est AUSSI se sentir en vie, c’est loin de l’ennui, du ronron… Il faut, oui, accepter les risques de vivre, parce que dans la mort on aura tout le temps de regretter à ce qu’on n’aura pas osé faire.
Le passage à propos du bonnet péruvien est juste trop fort ! Si c’est comme ça tout au long, ce livre promet en effet un joli moment en sa compagnie.
Bon dimanche, Gisèle.
Bises
Fabrice
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c’est certainement la lecture qui me conviendrai en ce moment
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Oh ! tu me donnes envie de lire ce livre !!!
Bonne après-midi, Gisèle, bisous
Geneviève
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Sauf erreur de ma part je l’ai lu et en ai parlé mais ça date un peu et là plongée dans ma news qui veut pas fonctionner les neurones HS…Bisous
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j’ai bien aimé le lire 😉
bises
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juste une question est ce toi qui a parlé il y a peu de temps d’un livre Blizzard ? je ne retrouve plus ce qui était dit !
Aïe ma tête…
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Euh non, les derniers livres dont j’ai parlé avant celui – ci , l’anomalie, la famille Martin, seule en sa demeure et Vincent et le papillon .
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Il me semble fort intéressant, ce livre Gisèle. Ta manière d’en parler est très convaincante.
Bonne semaine,
Bises 😘
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Décidément, je vais le mettre dans ma liste de livres à lire… tu as raison, on en a besoin en ce moment.
Merci pour ton partage, Jazzy.
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